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  • Enquête nationale de satisfaction des usagers des maisons départementales des personnes handicapées (MDPH)

    A la demande de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie (CNSA), la Maison de l’Autonomie des Yvelines lance une nouvelle enquête de satisfaction des usagers jusqu’au 20 décembre 2019 inclus.

    Anonyme, simple et accessible à tous, ce questionnaire ne prend que quelques minutes à remplir. L’avis du plus grand nombre est important.

    Participez à l’enquête via le lien : http://mamdph-monavis.fr !

  • Enquête de satisfaction des usagers de la MDPH : il est encore temps de répondre !

    Afin d’améliorer la qualité de service des MDPH, la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie (CNSA, a élaboré et mis en ligne un questionnaire permettant d’évaluer le degré de satisfaction des usagers. Anonyme, simple et accessible à tous, ce questionnaire ne prend que quelques minutes à remplir.

    Si ce n'est pas déjà fait, nous invitons les usagers de la MDPH des Yvelines à participer à cette enquête en répondant au questionnaire sur mamdph-monavis.fr (nouvelle fenêtre).

    Source : CDAPH des Yvelines.

  • La Maison Départementale des Personnes Handicapées de Seine et Marne (77) est en danger !

    Le Comité d’Entente Départemental de Seine et Marne, regroupant les principales associations représentant les personnes en situation de handicap vient de lancer une pétition contre l’évolution de la Maison Départementale des Personnes Handicapées de Seine et Marne (MDPH).

    La réorganisation de la MDPH influera fortement sur le traitement des dossiers, ce qui engendrera des réponses incomplètes, et parfois inadaptées aux personnes en situation de handicap du département. 

    Nous soutenons le Comité d’Entente de Seine et Marne et vous demandons de bien vouloir signer la pétition, en cliquant ICI.

    Source : APF – Direction régionale Ile de France

     

     

  • Stop à la casse des Maisons départementales des personnes handicapées !

    mdph.jpgCe mercredi 14 octobre l’APF appelle à  une journée nationale d’actions  afin de dénoncer les menaces qui pèsent sur les Maisons départementales des personnes handicapées (MDPH), notamment, dans le cadre, du projet de loi d’adaptation de la société au vieillissement.

    Créées par la loi handicap du 11 février 2005, les MDPH sont des dispositifs d’accueil à guichet unique qui répondent à toutes les demandes et besoins des personnes en situation de handicap et de leur famille. Ainsi, elles interviennent dans tous les domaines de la vie des personnes et leur permettent d’accéder à de nombreux droits et services tels que :

    -       un parcours de scolarisation pour un enfant en situation de handicap ;

    -      un parcours de formation, un parcours universitaire pour un jeune adulte ; 

    -       un parcours de formation et d’emploi pour un adulte ;

    -   un accompagnement par un service à domicile ou un accompagnement dans le cadre d’une structure d’hébergement spécifique, dans la cadre du libre choix du mode de vie des personnes en situation de handicap ;

    -    un droit à la compensation des conséquences de son handicap (enfant, adulte) ;

    -     une allocation de ressources pour un adulte ne pouvant pas travailler en raison de son handicap ou pour la famille d’un enfant en situation de handicap etc.

    Les MDPH sont des Groupements d’Intérêt Public (GIP), où les financeurs, mais aussi les partenaires associatifs participent au conseil d’administration. Ainsi, l’État, le Conseil départemental, les associations, l’ARS, la CAF, l’Education Nationale, garantissent son indépendance et la participation pleine et entière de tous les acteurs concernés par ces politiques.

    Depuis janvier 2014, l’APF est en effet mobilisée, face à l’inquiétante question du devenir des MDPH dont l’indépendance et l’impartialité décisionnelle sont remises en cause par la politique de certains conseils départementaux.

    Les MDPH, guichets uniques d’accès aux droits, sont en danger : elles pourraient être intégrées aux Conseils départementaux. Ainsi, le décideur des droits et l’organisme payeur seraient fusionnés. Les risques sont :

    -       Perte de l’équité de traitement inter-départements.

    -       Difficultés supplémentaires pour obtenir les prestations.

    - Baisse du niveau des prestations à cause des restrictions budgétaires départementales.

    -    Suppression des parités décisionnelles des partenaires et surtout des associations de défense si ces dernières sont évincées.

    Aujourd’hui la priorité n’est pas de modifier les MDPH mais bien de leur donner des moyens supplémentaires afin d’améliorer leur fonctionnement dans l’objectif de répondre efficacement aux attentes et besoins des personnes.

    Dans les Yvelines, la création de la maison de l’autonomie, en fusionnant les activités Personnes Agées, Personnes Handicapées (PA/PH), a pour objectif de réduire les coûts de fonctionnement, par mutualisation des moyens techniques et humains. A l’APF, nous craignons une mutualisation des incompétences, car ces 2 domaines sont trop différents pour qu’un travailleur social soit efficient des 2 côtés. Le (très) long apprentissage (plusieurs années) va encore augmenter les délais de traitement, laissant les ayants droit dans le désarroi. Les associations craignent aussi d’être évincées des décisions et de ne plus pouvoir assurer le rôle de garde-fou, protégeant ainsi les ayants droit.

    En mars dernier, l’APF a lancé la campagne « Touche pas à ma MDPH ! », accompagnée d’une pétition en ligne sur www.change.org/TouchePasAMaMDPH pour interpeller le président de la République ainsi que le Premier ministre et demander des MDPH renforcées et indépendantes pour pouvoir accomplir toutes leurs missions. Cette pétition a recueilli plus de 34 000 soutiens !  

     

    Maintenant, l’APF lance cette campagne nationale de mobilisation pour sauver les MDPH ! Car la priorité est bien d’en renforcer les moyens et de garantir leur indépendance. Créer un nouveau dispositif ou tenter de l’assimiler aux seuls Conseils départementaux, serait un net recul pour les droits des personnes en situation de handicap et de leur famille.

     

    C’est pourquoi, l’APF dit « STOP » à ces projets et pratiques et demande à madame la ministre Marisol Touraine d’arrêter le saccage et la démolition des MDPH. La priorité est de garantir leur indépendance, avec la coparticipation pleine et entière de tous les acteurs du GIP et de renforcer leurs moyens à la hauteur des missions qui leur sont confiées ! 

  • Touche pas à ma MDPH : la nouvelle campagne de l'APF

    4206320054.jpgAlors que le Sénat étudie actuellement le projet de loi relatif à l'adaptation  société  vieillissement, l’APF tient à alerter sur les menaces qui pèsent, encore une fois, sur les Maisons départementales des personnes handicapées (MDPH). En effet, ces dernières sont menacées dans ce projet de loi mais également localement du fait des pratiques de certains Conseils départementaux (ex Conseils généraux).

    Ces guichets uniques d’accès aux droits, grande avancée de la loi handicap de 2005, sont en danger : ils pourraient être remplacés par des dispositifs de plus en plus intégrés aux Conseils départementaux avec le risque de désavantages certains pour les personnes en situation de handicap et leur famille. Alors que de nombreuses personnes expriment déjà leurs difficultés pour accéder à leurs droits, cette remise en cause des MDPH va accroître ces complications !

    Aujourd’hui la priorité n’est pas de modifier les MDPH mais bien de leur donner des moyens supplémentaires afin d’améliorer leur fonctionnement dans l’objectif de répondre efficacement aux attentes et besoins des personnes.

    Ainsi, l’APF lance la campagne « Touche pas à ma MDPH ! » accompagnée d’une pétition en ligne sur www.change.org/TouchePasAMaMDPH pour interpeller le président de la République et le Premier ministre et demander des MDPH renforcées et indépendantes pour pouvoir accomplir toutes leurs missions! 

    Créées par la loi handicap du 11 février 2005, les MDPH sont des dispositifs d’accueil unique qui répondent à toutes les demandes et besoins des personnes en situation de handicap et de leur famille. Ainsi, elles interviennent dans tous les domaines de la vie des personnes et leur permettent d’accéder à de nombreux droits et services tels que :

    -    un parcours de scolarisation pour un enfant en situation de handicap ;

    -    un parcours de formation, un parcours universitaire pour un jeune adulte ;

    -    un parcours de formation et d’emploi pour un adulte ;

    -    un accompagnement par un service à domicile ou un accompagnement dans le cadre d’une structure d’hébergement spécifique, dans la cadre du libre choix du mode de vie des personnes en situation de handicap ;

    -     un droit à la compensation des conséquences de son handicap (enfant, adulte) ;

    -     une allocation de ressources pour un adulte ne pouvant pas travailler en raison de son handicap ou pour la famille d’un enfant en situation de handicap etc.

    Les MDPH sont donc indispensables au quotidien pour toutes les personnes en situation de handicap et leur famille ainsi que pour tous les partenaires qui concourent à ses missions.

    Les MDPH sont également des lieux où tous les acteurs et/ou décideurs qui participent à l’accompagnement des personnes sont impliqués dans son pilotage. Ainsi, l’État, le Conseil départemental, les associations, l’ARS, la CAF et encore d’autres organismes collaborent au sein du groupement d’intérêt public (GIP) des MDPH et garantissent son autonomie et la participation pleine et entière de tous les acteurs concernés par ses politiques.

    Les projets locaux de certains Conseils départementaux qui tentent d’intégrer les MDPH dans l’organigramme de leurs services et ainsi les priver de leur autonomie ; la pratique d’autres départements qui minorent les rôles des co-acteurs des commission exécutives des MDPH ainsi que le projet de loi d’adaptation de la société au vieillissement, sous couvert des Maisons de l’Autonomie, pourraient revenir sur ce principe. Et laisser les Conseils départementaux gérer les MDPH à travers le prisme de leurs seules compétences avec le risque de dérives des « décideurs-payeurs ». Cette mainmise des Conseils départementaux entraînerait une aggravation des réductions des droits pour les personnes en situation de handicap et de fortes disparités de traitement sur le territoire en particulier pour l’octroi de prestations.

    C’est pourquoi l’APF lance cette campagne de mobilisation et cette pétition pour sauver les MDPH ! Car pour l’APF, la priorité est bien de renforcer leurs moyens et de garantir leur indépendance et non de créer un nouveau dispositif ou de tenter de l’assimiler aux seuls Conseils départementaux, ce qui serait un net recul pour les droits des personnes en situation de handicap et de leur famille.

    L’APF appelle tous les citoyens à se mobiliser en signant la pétition en ligne sur www.change.org/TouchePasAMaMDPH.