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  • Quentin Revert volontaire en service civique à la délégation se présente !

    photo quentin REVERT.jpgJe m’appelle Quentin Revert et je suis l’un des deux nouveaux Volontaires en Service Civique de la délégation de l’Association des paralysés de France des Yvelines, dont je suis d’ailleurs originaire (Chavenay).

    Après avoir obtenu un bac ES au Lycée de Marly-le-Roi, j’ai fait une licence Humanités (littérature, philosophie et histoire), puis un master Humanités et Management (la même chose, avec en plus des cours de gestion/éco/marketing/comptabilité etc.) afin de pouvoir m’insérer dans la vie active. Durant ce master j’ai réalisé, en première année, un stage de 6 mois  dans l’agence de communication Angie+1 (spécialiste des réseaux sociaux), puis une alternance d’un an, en deuxième année, comme chargé de projets pour la fondation d’entreprise Gecina. Cette dernière travaille sur les thématiques de l’environnement et du handicap. C’est dans ce cadre que j’ai pu participer et encadrer des projets avec Les Clayes Handisport, CAP SAA ou encore Handi’chien.

    Au sein de la délégation, je prends la suite de William Bastel qui était en charge de la sensibilisation et des partenariats. Le but de ma mission étant de continuer les sensi’ (notamment dans les écoles) à l’aide du groupe dédié de l’APF et de développer le mécénat avec les entreprises du département.

  • Emmanuel Collas volontaire en service civique à la délégation se présente !

    Photo Emmanuel.pngBonjour à toutes et tous,

    Je m’appelle Emmanuel Collas et à 23 ans, j’ai décidé de rejoindre la délégation départementale APF des Yvelines  dans le cadre d’une mission de service civique d’une durée de 9 mois. Remplaçant de Florence Esmieu, partie en juin dernier, je vais travailler avec le groupe accessibilité sur la mise en place et la réalisation d’une enquête dans les ERP s’étant déclarés accessible  sur la commune de Versailles. J’aurais aussi l’occasion de porter les revendications de l’APF concernant les problématiques d’accessibilité auprès des pouvoirs publics et de suivre les représentations des bénévoles et adhérents de la délégation sur le territoire des Yvelines.

    Après une formation en logistique industrielle et une réorientation vers le domaine de la gestion urbaine et de la coordination des projets de développements locaux, j’ai réalisé un stage d’une durée de 3 mois auprès de l’ANDES (Association Nationale pour le Développement des Epiceries Solidaires). J’ai eu l’occasion de réaliser un second stage de 3 mois dans l’association Handicap & Libertés afin de développer les capacités d’interventions d’associations partenaires situées en Amérique Latine.

    Suite à un travail d’une année avec une mairie Girondine souhaitant réaménager et redynamiser le centre-ville de sa commune et différentes implications en tant que bénévole dans des associations comme la Croix-Rouge Française et Autisme, Espoir vers l’Ecole, je serai ravi de travailler avec vous durant cette année et de développer à vos côtés mes compétences en matière d’accessibilité.

    En espérant vous rencontrer bientôt dans les locaux de la délégation ou durant diverses actions de l’APF.

    Emmanuel Collas.

  • Emploi des personnes en situation de handicap - L’APF et l’Agefiph signent une convention!

    agefiph.jpglogo+signWeb.jpgL’accès à la vie professionnelle et le maintien dans l’emploi constituent les vecteurs essentiels de l’inclusion et de la participation à la société pour les personnes en situation de handicap.

    L’Association des Paralysés de France (APF) et l'Association pour la Gestion du Fonds pour l'Insertion Professionnelle des Personnes Handicapées (Agefiph), fortes de leur investissement commun en faveur de l’emploi des personnes en situation de handicap, ont signé une convention nationale, qui a pris effet le 1er septembre. 

    Conclue pour 3 ans, elle,  vise à proposer des solutions concrètes au service de l’insertion professionnelle des personnes en situation de handicap et des employeurs du secteur privé.

    Ce partenariat concrétise une volonté de  partager les expertises, et pour l’APF de structurer une démarche de meilleure appropriation par ses acteurs.

    Cette convention mobilise ainsi l’ensemble des acteurs du réseau APF (salariés, bénévoles, élus associatifs, adhérents et usagers en situation de handicap moteur) et bénéficie des compétences de l’Agefiph. Elle comprend trois objectifs principaux :

    ð  Le développement de l’information sur les dispositifs, les acteurs et les mesures de l’Agefiph ;

    ð L’amélioration et l’harmonisation de la qualité des actions de sensibilisation menée par l’APF ;

    ð  La contribution à une meilleure visibilité et la valorisation des actions de l’APF pour l’emploi des personnes en situation de handicap.

    Cette démarche volontariste permettra la constitution d’un réseau de 200 personnes ressources formées, informées et outillées sur l’ensemble du territoire métropolitain ; un réseau efficace pour soutenir l’accès et le maintien en emploi en milieu ordinaire dans le secteur privé des personnes en situation de handicap. Il sera l’interlocuteur des personnes en situation de handicap, des employeurs du secteur privé, des acteurs locaux et des pouvoirs publics en matière d’accès à l’emploi en milieu ordinaire.

    L’Agefiph apporte un soutien technique et financier à la mise en œuvre de cette convention.

    Comme l’inscrit le projet associatif de l’APF, « Le temps est venu de bouger les lignes pour l’emploi des personnes en situation de handicap! » 

  • Le licenciement d’une tierce personne

    bon à savoir.jpgSi vous souhaitez licencier votre salarié à domicile, vous devez respecter la procédure suivante :

    • convocation à un entretien préalable : par lettre recommandée ou par lettre remise en main propre contre décharge. Cette convocation doit mentionner l’objet de l’entretien : éventuel licenciement
    • entretien avec le salarié : l’employeur indique le ou les motifs de la décision envisagée et recueille les explications du salarié
    • notification de licenciement : s’il décide de licencier le salarié, l’employeur doit notifier à l’intéressé le licenciement par lettre recommandée avec demande d’avis de réception. La lettre de licenciement doit préciser clairement le ou les motifs de licenciement. La lettre ne pourra être expédiée moins d’un jour franc après la date prévue pour l’entretien préalable

    La date de la première présentation de la lettre recommandée de licenciement fixe le point de départ du préavis.

    Le licenciement d'un employé de maison, celui-ci doit être fondé, pour être justifié, sur une cause réelle et sérieuse. Il devra s’agir obligatoirement d’un motif personnel, disciplinaire ou non, et inhérent ou non à la personne du salarié.

    La durée du préavis de rupture à respecter est de :

    • une semaine, lorsque le salarié concerné justifie de moins de six mois d'ancienneté au service du même employeur
    • un mois, lorsque le salarié concerné justifie de six mois à moins de deux années d'ancienneté au service du même employeur
    • deux mois, lorsque le salarié concerné justifie d'au moins deux années d'ancienneté au service du même employeur.

    Une indemnité de licenciement distincte de l’éventuelle indemnité de préavis sera accordée, en dehors du cas de faute grave ou lourde aux salariés licenciés avant l’âge de 65 ans et ayant au moins une année d’ancienneté ininterrompue au service du même employeur.

    Cette indemnité non soumise à cotisations et contributions sociales est calculée comme suit :

    • pour les 10 premières années d’ancienneté : 1/5ème de mois par année d’ancienneté de services continus chez le même employeur,
    • pour les années au-delà de 10 ans : 1/3 (1/3 = 1/5ème + 2/15ème) de mois par année d’ancienneté de services continus chez le même employeur, au-delà de 10 ans.

    Le salaire à prendre en considération pour le calcul de l’indemnité est le 1/12ème de la rémunération brute des douze derniers mois précédant la date de notification du licenciement ou, selon la formule la plus avantageuse pour l’intéressé, le 1/3 des trois derniers mois précédant la date de fin de contrat (étant entendu que, dans ce cas, toute prime ou gratification à caractère annuel ou exceptionnel, qui aurait été versée au salarié pendant cette période, ne serait prise en compte que prorata temporis). Cette indemnité de licenciement ne se cumule avec aucune autre indemnité de même nature.

  • Discriminations : s'informer et agir

    discriminationsQue faire en cas de discrimination ? Quelles sont les discriminations reconnues par la loi ? Entretien d'embauche, visite d'appartement ... Que faire en cas de discrimination ? Quelles sont les discriminations reconnues par la loi ? 

    S'informer

    La discrimination, au sens juridique, se définit comme un traitement défavorable ou inégal comparé à d'autres personnes ou d'autres situations par rapport à certains critères discriminatoires interdits par la loi (origine, sexe, situation de famille, patronyme, handicap, orientation ou identité sexuelle...). Ce traitement défavorable intervient dans un domaine spécifié par la loi comme l'accès à l'emploi ou au logement par exemple. Attention néanmoins à ne pas confondre les discriminations avec d'autres infractions (racisme, provocation publique à la discrimination ou encore harcèlement). L'auteur d'une discrimination encourt jusqu'à 3 ans d'emprisonnement et 45 000 €d'amende.

    Agir

    Il existe de nombreuses structures d'écoute et d'accompagnement :

    - les bureaux d'aide aux victimes (dans tous les tribunaux de grande instance) ;

    - les maisons de justice et du droit (MJD) présentes dans certaines communes éloignées des palais de justice ou dans les zones urbaines sensibles ;

    - le 08 victimes au 08 842 846 37 qui vous offre une écoute confidentielle et gratuite ;

    - le réseau de l'Institut national d'aide aux victimes et de médiation (Inavem). qui fédère les associations d'aide aux victimes.

    Pour vous informer et agir, retrouvez www.stop-discrimination.gouv.fr un site du ministère de la justice.

    Source : Service-Public.fr